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VENDREDI 6 FEVRIER 2009 - 18H A 22H30 - MONTREUIL STAND,
PRISE DE PAROLE ET PRESENTATION DE LA CAMPAGNE LORS DU MEETING DE LANCEMENT DE
"LA FEDERATION"
> MERCREDI 28 JANVIER 2009 - 19 HEURES - NOISY-LE-SEC RÉUNION
DE TRAVAIL DU COMITE DE SOUTIEN REDA SEMMOUDI
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SAMEDI 24 JANVIER 2009 - 11 HEURES - COURBEVOIE
MARCHE A LA MÉMOIRE D'ABOU BAKARI TANDIA
4
ans déjà, le 24 janvier 2005, Abou Bakari décéde suite à sa garde à vue au commissariat
de Courbevoie. Aujourd'hui, des zones d'ombres subsistent. Conférence de presse
à 12 heures au foyer Soundiata / restauration (paf 5 €) Informations complètes
sur www.aboubakaritandia.org
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SAMEDI 24 ET DIMANCHE 25 JANVIER 2009 - PARIS RENCONTRE
ET RÉUNION DE TRAVAIL AVEC AMNESTY INTERNATIONAL
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DIMANCHE 18 JANVIER 2009 - CANAL + INTERVENTION
D'OLIVIER BESANCENOT A PROPOS DE LA CAMPAGNE ET DE L'AFFAIRE HAKIM AJIMI DANS
L'EMISSION "DIMANCHE +"
(L'émission
archivée n'est étrangement plus disponible sur le site de la chaïne)
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JEUDI 8 JANVIER 2009 - 18 H 30 - NOISY-LE-SEC RASSEMBLEMENT
EN MÉMOIRE DE REDA SEMMOUDI - QUARTIER DU LONDEAU
Réda
est décédé le 8 janvier 2008 lors d'une opération de police à son domicile. Nous
exigeons la vérité car l'unique version des faits est en provenance directe de
la police pour essayer de conclure
à un suicide alors que l'enquête n'a pas eu lieu. (voir
rubrique Echo des Cités)
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MARDI 23 DECEMBRE 2008 - 10 H - GRASSE RASSEMBLEMENT
DEVANT LE PALAIS DE JUSTICE POUR DENONCER LA COMPLAISANCE DE LA JUSTICE VIS A
VIS DES POLICIERS RESPONSABLES DU DECES PAR ETRANGLEMENT D'HAKIM AJIMI
Les
deux policiers responsables de la mort d’Hakim (voir affaire Hakim Ajimi, rubrique
Echo des Cités) ont été convoqués devant la juge d’instruction la semaine dernière,
en tant que.. témoins assistés ! Malgré les éléments qui incriminent les deux
policiers (une quinzaine de témoignages + le rapport d’autopsie), la juge d’instruction
n’aurait pas suffisamment d’éléments !? Encore une fois, dans ce type d’affaire,
la Justice semble prendre le chemin de la complaisance et de la complicité avec
la Police ! Nous n’accepterons pas cette mascarade judiciaire et demandons
la mise en examen pour homicide volontaire des deux policiers responsables.
C’est pourquoi nous appelons l’ensemble des citoyen-e-s, militant-e-s et proches
d’Abdelhakim à un rassemblement devant le tribunal de Grasses ce mardi 23 décembre
à 10 heures, afin que la Justice dans cette affaire prenne les responsabilités
qui s’imposent face au devoir de Vérité et Justice. Le rassemblement sera suivi
d’une conférence de presse en présence du Comité de Soutien Hakim Ajimi et des
porte-paroles de la campagne nationale « Police Personne Bouge ?! ».
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Affaire Ajimi : une manifestation dénonce "la complaisance" de la justice -Dépêche AFP - 23/12/2008
Des
proches d'Abdelhakim Ajimi, des représentants d'associations et habitants de Grasse
ont manifesté mardi devant le palais de justice pour dénoncer "la complaisance"
de la justice dans l'instruction de l'enquête sur la mort, après une interpellation
policière, de ce Tunisien de 22 ans, a constaté une journaliste de la l'AFP. Environ
80 personnes se sont rassemblées derrière une banderole barrée du slogan "Impunité
policière, Justice complice", aux cris de "non à la complaisance", "non à la violence",
"non au permis de tuer", "justice pour Hakim. Abdelhakim Ajimi est mort le
9 mai lors de son transfert au commissariat de Grasse après une rixe qui avait
éclaté dans une agence du Crédit Agricole. "Nous venons dénoncer la complicité
de la justice qui a décidé d'accorder aux policiers mis en cause dans la mort
d'Hakim le statut de témoins. On a l'impression que la justice fait preuve de
corporatisme avec la police alors qu'elle a assez d'éléments pour prononcer des
mises en examen", a déclaré à l'AFP Walid Klai, l'un des organisateurs du rassemblement
auquel participaient notamment le Mrap, RESF, la Ligue des droits de l'Homme.
Les deux policiers de Grasse ayant procédé à l'interpellation d'Hakim Ajimi ont
reçu courant décembre le statut de témoin assisté, les juges d'instruction considérant
qu'ils ne disposaient pas d'éléments suffisants pour les mettre en examen pour
homicide involontaire ou non assistance à personne en péril. Le parquet de Grasse
avait affirmé quelques semaines auparavant que le dernier rapport d'expertise
rendu fin novembre ne laissait "aucun doute" sur les causes de la mort du jeune
homme: une asphyxie mécanique due à une compression thoracique et à une clef de
bras pratiquées par les policiers sur la victime avec trop de force et durant
trop longtemps. Les manifestants entendaient également dénoncer cette technique
d'interpellation contre laquelle une campagne nationale baptisée "Police, personne
ne bouge" a été lancée début décembre par des associations.
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SAMEDI 6 DÉCEMBRE 2008 - 15 H - PARIS LANCEMENT
PUBLIQUE DE LA CAMPAGNE "POLICE, PERSONNE NE BOUGE ?!"
Ce
lancement a eu lieu le 6 décembre 2008, date anniversaire des 22 ans de la mort
de Malik Oussekine, sur les lieux même de son passage à tabac par 3 policiers,
devant le n° 20 de la rue Monsieur le Prince, dans le 6ème arrondissement de Paris
en 1986. (voir rubrique Lancement (cliquez
ici) pour plus d'infos et vidéo-reportage).